La presse en parle :
« Jaurès, la passion du journaliste, c’est le titre d’un magnifique
texte de Charles Silvestre que je reçois ce soir sur Europe 1. La
préface est d’Edmonde Charles-Roux et les dessins d’Ernest
Pignon-Ernest, ce qui n’est pas rien ». Charles Silvestre invité par
Pierre-Louis Basse sur Europe 1 21/10/2010 :
http://www.europe1.fr/MediaCenter/Emissions/Bonne-Mauvaise-humeur/Sons/Jaures-la-passion-d-un-journaliste-294543/
« Jaurès journaliste, on croyait tout connaître de cette histoire. Eh
bien, Charles Silvestre la renouvelle et lui redonne fraîcheur et sens,
car il sait poser avec pertinence des questions simples, mais
essentielles ». Gilles Candar, historien, L’Humanité, 28/08/2010
« Fondateur de l’Humanité, Jaurès fut aussi un chroniqueur inlassable
de l’actualité. C’est le mérite de Charles Silvestre de faire revivre
cet aspect du personnage ». Denis Sieffert. Politis. 09/09/2010
« Jaurès était un ogre, un monstre. De la pensée, de la politique, de
l’éloquence. Du journalisme aussi. Et le journaliste Charles Silvestre
nous le rappelle preuves à l’appui, dans un livre passionnant ».
Franz-Olivier Giesbert, Le Point, 30/09/2010
http://www.lepoint.fr/livres/un-journaliste-nomme-jaures-30-09-2010-1243370_37.php
« Si ce géant qu’est Jaurès projette toujours son ombre sur nous…il
le doit aussi, il le doit aussi – et c’est un aspect souvent méconnu de
ce Protée socialiste – à son extraordinaire activité de journaliste.
Charles Silvestre, ancien rédacteur en chef de l’Humanité, choisit cet
angle de vue pour donner de ce lointain et glorieux prédécesseur un
portrait aigu qui vient compléter avec justesse la bibliographie
consacrée à l’ami des mineurs de Carmaux ».
Laurent Joffrin, Libération, 9/10/2010.
« Jaurès et l’antisémitisme. Lisez à ce propos le magnifique petit
livre de Charles Silvestre, Jaurès journaliste, aux éditions Le Temps
des Cerises ». Jean-François Kahn. Marianne . 23/10/2010
« Ce bouquin est accompagné de dessins magnifiques d’Ernest
Pignon-Ernest. En ces temps où, à juste titre, le métier de journaliste
est critiqué, ça fait du bien de lire ou de relire un livre, hommage à
Jaurès, qui prend le journalisme comme un moyen de lucidité, une matière
à penser, un métier qui peut fournir du grain à moudre ». Daniel
Mermet. France-Inter. Entretien pour Là-bas si j’y suis. 10/11/2010.
http://www.la-bas.org/article.php3?id_article=2035
« Ami lecteur, la fougue, la passion qui habitait Jaurès est
exemplaire. Laissez-vous emporter…Charles Silvestre nous invite à une
surprenante et précieuse leçon de journalisme. Ecoutez-la et prenez-en
soin ». Edmonde Charles Roux. La Provence 21/11/2010.
« Comment des révolutionnaires proclamés et M. Dominique Strauss-Kahn
peuvent-ils simultanément invoquer Jean Jaurès ?(…) Selon Charles
Silvestre deux fils rouges permettent, aujourd’hui encore, de distinguer
les disciples des imposteurs : « Faire du sort réservé aux ouvriers la
mesure en tout » ; « Qui ne pose pas la question de la propriété n’est
pas socialiste »
Serge Halimi. Le Monde Diplomatique n°682 Janvier 2011.
« Charles Silvestre, journaliste engagé, est fasciné par la puissance
de travail de Jaurès, sa précision dans l’analyse, sa passion pour
l’écriture. Il est rare qu’un journaliste à partir de sa propre
expérience fasse le portrait d’un autre journaliste. L’intérêt du livre
est dans cette approche très particulière, renforcée par les 14 dessins
au fusain d’Ernest Pignon-Ernest. »
Jean Le Garrec, « Jaurès de plomb et de marbre », L’Ours, n°404, Janvier 2011.
« Charles Silvestre est l’auteur d’un très joli livre sur Jaurès et sa passion du journalisme »
Ivan Levaï. France-Inter. Revue de presse. 26 juin 2011.
« Un merveilleux ouvrage pour qui veut travailler la préfiguration de
la non violence chez Jaurès, où presque tout est encore à découvrir ».
François Vaillant. Alternatives non-violentes. N° 159. Juin 2011.